Valeur $EO des publications québecoises ? 1/3

Valeur $EO des publications québecoises ?  1/3

Montréal est une ville au cœur de la grande intrigue de l’avenir de la production de contenu et des publications web. Après les fermetures successives des bureaux de Yahoo, mais aussi de sites issus de Rogers tels que Branchez-Vous.com, Ciné-Horaire.com, LeCinema.ca, Matin.qc.ca , Showbizz.net, CanadianParents.com, SweetSpot.ca et SweetSpotQC.ca, une question est au rendez-vous des colloques marketing : quel avenir pour la performance des annonceurs ?

Que devient le ‘contenu natif’ de Montréal sur la scène web et en terme d’audience ? De nombreuses entreprises dans divers marchés, à Montréal, se ruent littéralement vers les publications web offrant des formules de ”sponsored content” ou ”Native ads” dans le but d’améliorer leur référencement.

Pourtant, la plupart des ces plateformes obtient son trafic à travers les plateformes sociales et certaines sont même pénalisées par Google. Les clients continuent pourtant de dépenser des milliers de dollars dans ces articles poussés vers l’audience de ces plateformes.

Les raisons de ce changement

Le web est l’une des industries les plus mouvantes, en terme de changements et de nouvelles législations. Le blocage publicitaire, par exemple, et la restriction des publicités visibles sur les sites considérés comme ‘qualititatifs’ par les grands engins de recherche, aura poussé a un choix crucial la plupart des plateformes web québecoises a une réflexion majeure sur leur business model.

La transition du trafic vers le mobile

Cette ‘migration’ des grands segments d’audience, impacte définitivement les coûts d’affichage qui sont jusqu’a 50% moins cher sur ce genre d’appareils. L’achat de trafic de mauvaise qualité réduit également les taux de conversion au profit des quantités de trafic, et les coûts de production, eux, ne changent pas vraiment.

Certains discounts applicables entre les différents (et les plus grands) annonceurs mondiaux, tels que Google, Yahoo ou Microsoft, renforce encore cette tendance de la disparition progressive des éditeurs de contenu local.

Pour résumer, le choix d’annoncer sur telle ou telle plateforme se fait désormais selon des métriques très précises et certaines publications , auparavant considérées comme ‘alignée’ avec des marques, se retrouvent aujourd’hui dépourvue de statistiques intéressantes pour les annonceurs.

Seul un trafic organique régulier – et donc un site sain aux yeux de Google – peut se qualifier dans le long-terme comme partenaire des opérations Marketing d’une majorité d’entreprises

Pas de réglementation

Les chaines traditionnelles de TV ou de radio sont réglementées par la CRTC, qui oblige les éditeurs a respecter un minimum de contenu original en français sur les propriétés canadiennes et étrangères.

Même si le potentiel d’efficacité et de revenus du contenu web québecois connaitra des défis certains dans les prochaines années, certains sites s’en tireront mieux que d’autres.

Notre étude

Afin d’aider les marketeurs, annonceurs et agences de communication faisant affaire avec ces plateformes, nous avons analysés les signaux similaires a ceux qu’utilise Google pour déterminer votre score , ou ranking.  Nous allons donc passer les publications québecoises les plus familières afin d’en connaître leur valeur SEO.