Dans le contexte actuel, recruter des cadres intermédiaires et supérieurs pose d’importants défis aux entreprises, aux services de ressources humaines (RH) et même aux chasseurs de têtes. Depuis un an, Recruscope connaît un franc succès auprès des entreprises québécoises et internationales avec ses solutions personnalisées et agiles.
Après avoir travaillé huit ans chez St-Amour à titre de directeur du recrutement et directeur de division, secteur industriel, Olivier Parent a décidé de sa propre firme de recrutement de cadres intermédiaires et exécutifs pour mettre de l’avant sa vision personnelle du recrutement. Depuis plus d’un an, Recruscope répond aux besoins pressants de personnel-cadre auprès des entreprises québécoises et internationales.
Actuellement, les défis de recrutement sont nombreux dans tous les secteurs. Cela est vrai à tous les paliers des entreprises où la prise de retraite anticipée du personnel-cadre, la pénurie de main-d’œuvre, le télétravail et la gestion participative amènent leur lot de changements.
« J’ai toujours voulu créer ma propre entreprise, mais c’est un peu un hasard si je l’ai démarré l’année de la pandémie. Je vois ce contexte très exigeant comme l’opportunité de mettre de l’avant une philosophie du recrutement axée sur l’humain », explique le fondateur de Recruscope.
Rapprocher les gens
« Notre époque est marquée par la distanciation et je veux rapprocher les gens. C’est ça Recruscope. Avoir créé ma propre entreprise me permet de proposer aux clients des solutions agiles dans la recherche des meilleurs candidats. J’adore comprendre ce qui anime les futurs gestionnaires des entreprises qui ont recours à nos services. Faire ce qu’on aime est vraiment la meilleure garantie pour garder un niveau de motivation élevé et performer. Les cadres d’aujourd’hui ont de l’ambition. Mais pas seulement au niveau du travail. Ils ont d’autres rêves, d’autres projets, et c’est en conciliant les dimensions personnelle et professionnelle qu’on arrive à faire d’heureux mariages entre les bons cadres et les bonnes entreprises », poursuit Olivier Parent.
Pour ce chasseur de têtes aguerri, les exigences des candidats potentiels à un poste de gestion ou de direction ne peuvent plus être prises à la légère. Dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, les gestionnaires déjà en poste ont un pouvoir de négociation que les employeurs ne peuvent plus écarter du revers de la main. Il faut les écouter attentivement.
« Il faut retourner chaque pierre une à une et voir ce qui est important pour chaque candidat, à l’étape actuelle de sa carrière, mais aussi, à l’étape où il est dans sa vie. »
Le processus de recrutement n’est pas un long fleuve tranquille. En contexte de pandémie, beaucoup de candidats fort intéressants restent prudents face au changement et conséquemment, manquent parfois de bonnes occasions d’avancement. Ceux et celles qui se présentent en entrevue constatent aussi que toutes les entreprises n’ont pas évolué au même rythme. Il y a souvent un décalage entre les attentes des uns et des autres.
« C’est un autre aspect essentiel de mon travail : la négociation », poursuit le fondateur de Recruscope. « On doit trouver un terrain d’entente pour bâtir une offre globale mutuellement avantageuse. Plus l’employeur et le candidat acceptent de jouer le jeu de la négociation de bonne foi, plus on a des chances de réussir. Ce rôle est extrêmement important dans le contexte actuel, mais ce ne sont pas tous les chasseurs de têtes qui y mettent le temps et l’énergie nécessaires. »
Une firme généraliste
« Je me suis toujours passionné pour les défis liés à la recherche. Qu’il s’agisse de domaines très spécialisés ou de postes qui exigent des profils techniques particuliers, j’ai toujours accepté de relever ces défis exigeants. Au fil des ans, j’ai développé une approche méthodique pour dénicher les bonnes personnes. Mais cela demande du temps. De leur côté, les employeurs doivent accepter de faire partie du processus, avoir confiance et collaborer étroitement avec le chasseur de têtes tout au long du processus », précise le président de Recruscope.
« Je ne pars pas du principe que rien n’a changé, business as usual. Les employeurs qui vont trouver la bonne personne, c’est parce qu’ils auront fait un bout de chemin avec nous. Recruscope est le fruit de plus de 10 ans d’expertise accumulée dans l’arrimage des compétences de gestion aux objectifs d’affaires des entreprises. Cette expérience de terrain permet d’avoir une bonne idée des motivations des uns et des autres. »
Dans les années à venir, Recruscope continuera à être une firme généraliste qui profitera de l’expertise développée par son fondateur dans le processus de recrutement. La firme agile répondra aux besoins d’embauche des entreprises québécoises et internationales. « Un leader est un leader, peu importe sa personnalité, son âge ou son sexe. Le facteur humain est ce qui demeure la clé du succès».